Pas de quartier

Pas de rançon 
Prisonnier, un chevalier avait plus de valeur que mort : on pouvait en exiger une rançon. Les prix étaient variables en fonction de la renommée du captif. Jusqu'à l'an 1568, qui vit les Espagnols et les Hollandais se mettre d'accord pour fixer la rançon d'un officier au quart de sa solde annuelle, à payer par le capitaine propriétaire de son régiment comme on l'était alors. De là l'expression demander quartier
L'accord stipulait la possibilité de ne pas faire de quartier pour les simples soldats et de les exécuter.